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Odes, Chants et contes motardesques
Un peu de douceur dans ce monde de brutes ? Pas si sûr...
Le lyrisme est un moyen détourné de rendre hommage au Gourou Casqué. Les facéties et les divertimentos sont monnaie courante dans la secte et c'est pourquoi bon nombre de [MT] pratiquent l'expression artistique par le biais de la poésie, la prose ou même la chanson afin de traduire leur rattachement à la communauté casquée.
 
Voici le [MT] Spirit Compendium® des meilleurs contes motardesques de la confrérie, choisis dans le forum, où s'exprime habituellement la verve des MT inspirés.
Au programme
  • Le carter
  • Désir, Désir
  • Les Demoiselles d'Anglefort
  • Je Roule en Brigestone
  • In Virolos Veritas
  • Le Philou et le Bilou
  • Les débuts de Lorraine
  • L'Apologie des MT
  • Viens donc faire une balade MT
  • Au pays de Candie
  • Le bistrot des MT
  • Je chante sous mon casque
  • Chanson pour les pistards
  • Petite fiction, toute en rimes
  • Gaaaaaaz !
  • Soleil
  • Poème a 4 mains : Bilou + Absolut
  • Le Bilou
  • Le MT
  • A vous mes amis motards disparus.........
  • Soufflet de Hervé à JUL
  • Ode aux Ducatistes
  • Ode au Gromono
  • Poème du jeune permis
  • Ode à l'Absolut
  • Le Hérisson
  • Les Ecureuils
  • L'Escargot
  • Ode à la... Moto !
  • Un jour je serai motard...
  • Oh ! Une ode aux webmasters !
  • Divagation Florale: Les Paquerettes
  • Bienvenue aux nouveaux [MT]


  •  
    » Le carter Revenir en haut de page
    Adaptation de La Corrida de Francis Cabrel, par DJRidou
    Depuis le temps que je patiente
    Dans cette chambre noire
    J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante
    Au fin fond du Gers ;
    Quelqu'un m'a proposé d'y aller
    Et j'ai sauté sur ma bécane
    J'ai vu les routasses, les graviers
    Et de l'herbe autour...

    Dans les premiers moments j'ai cru
    Qu'il fallait seulement se détendre
    Mais cette roue qui part en trav'
    Je commence à comprendre
    Ils ont refait toute la chaussée
    Ils ont laissé plein de graviers
    Ils ont bien fini par m'avoir
    Ces connards de la DDE...

    Est-ce que ces mecs sont sérieux ?
    Est-ce que ces mecs sont sérieux ?

    A Marciac je me souviens
    Les ruelles farcies de concerts
    Je n'vais pas pouvoir y'aller
    A cause de ces minus !
    Je vais être obligé de rentrer
    Avec mon vieux carter tout niqué
    Mais ce soir j'y retournerai
    Même si j'dois y aller à pied

    Est-ce que ces mecs sont sérieux ?
    Est-ce que ces mecs sont sérieux ?

    Ils sortent d'où tous ces cyclistes
    Avec leurs costumes bariolés ?
    Ils ne pensent qu'à une seule chose
    C'est de me chambrer
    Sentir de l'huile sur mes mains
    C'est fou comme ça peut faire du mal
    J'ai réparé avec du Top Fix
    De chez Sader (et du gros scotch)

    Je les entends rire comme je râle
    J'les vois pédaler comme je galère
    Je pensais pas qu'on puisse autant
    S'amuser autour d'un carter

    Est-ce que ces mecs sont sérieux ?
    Est-ce que ces mecs sont sérieux ?

    Si, si hombre, hombre
    Roda, roda
    Hay que rodar de nuevo
    Y compraremos otros
    Otro cartér, otros tornillos
    Y compraremos otros
    Venga, venga, a rodar !
    Y compraremos otros !

     
    » Désir, Désir Revenir en haut de page
    Une adaptation de Désir, Désir de L. Voulzy, par Sp!ke
    Mais aucune chanson
    Raconte ce genre d'histoire
    Il y a jamais de brêlons
    Réunis pour le départ
    Envie brêle
    Qui n'se comprend pas
    Une route belle
    Qui n'attend que ça

    On en ferait des films
    De ces trajectoires divines
    De cette situation
    On rocks et on speed
    Mélodie qui s'entend barouf
    Oh I need ride baby
    I need ride baby
    Baby my brélou {2x}

    C'est au quart de tour qu'on file vrouhouhoum
    Cette chose-là il faut que tu devines
    Mon premier c'est partir
    Mon deuxième du plaisir
    Mon troisième du délire vroum vroum
    Et mon tout fait des souvenirs

    On se fait des peintures
    Des stickers sur les rayures
    On se met des boules dans l'oreille
    Pour soutenir des allures
    Le savoir-faire
    Enrouler Tranquillou
    Puis un genou par terre
    On ressort comme un fou

    Faut enrouler les collines
    Des spéciales des sublimes
    Le meneur il faut que tu suives
    Son premier c'est partir
    Son deuxième du plaisir
    Son troisième du délire vroum vroum
    Et son tout fait des souvenirs

    C'est du billard à s'coucher par terre
    Ou bien des trip plaisir de pourrir
    Perdu dans l'aspi du meneur
    Il faut toujours s'placer et ouvrir
    Ah ah...

    Mais aucunes chansons racontent ce genre d'histoire

    Cette histoire il faut l'écrire
    Mon premier {2x}
    Mon premier c'est partir
    Mon deuxième du plaisir
    Mon troisième du délire vroum vroum

    Mon premier c'est partir
    Mon deuxième est plaisir
    Mon troisième du délire vroum vroum

    Mon premier c'est désir
    Mon deuxième du plaisir
    Mon troisième du délire {2x}

    Et mon tout fait des souvenirs vroum vroum...

     
    » Les Demoiselles d'Anglefort Revenir en haut de page
    Les Soeurs Jumelles, version Sky, pour les inséparables Titange & Sky
    Nous sommes deux sœurs jumelles,
    Nées sous le signe de la moto
    Ratatata Paow Paow
    Ratatata tata Paow Paow.
    Toutes deux demoiselles,
    Ayant pris des gamelles très tôt.
    Ratatata Paow Paow,
    Ratata bing plach scratch Aïe Aïe.

    Nous sommes deux sœurs jumelles,
    Nées sous le signe de la moto,
    Ratatata Paow Paow
    Ratatata tata Paow Paow.
    N'aimant pas les gamelles,
    Et les 49 blagues de Sp!kou,
    Ratatata Paow Paow
    Ratatata tata Paow Paow.

    Nous sommes deux sœurs jumelles,
    Nées sous le signe de la moto,
    Ratatata Paow Paow
    Ratatata tata Paow Paow.
    Du plomb dans la cervelle,
    Enfin pour la blonde oui mais pas trop,
    Ratatata Paow Paow
    Ratatata tata Paow Paow.


    Nous sommes sœurs jumelles,
    Nées sous le signe de la moto !!!




    à mon ange icon_wink.gif

     
    » Je Roule en Brigestone Revenir en haut de page
    Une adaptation de Starmania : Le Monde est Stone par Sky
    J'ai les pots qui éclatent
    J' voudrais seul' ment partir
    Pas m'étendre sur l'asphalte
    Et pas me laisser mourir.

    BridgesStone
    Je roule en bridgestone
    Je cherche le soleil
    Au milieu de la nuit
    J'sais pas si c'est la terre
    Qui tourne à l'envers
    Ou bien si c'est moi
    Qui m'traine et qu'j'avance pas
    Je cherche le soleil
    Au milieu de la nuit

    BridgesStone
    Je roule en Bridgestone
    J'ai plus envie d'2 pattes
    J'ai envie d'les pourrir
    Comme tous ces mecs en ducat
    Qui bâtissent des légendes
    Que le vent peut détruire
    Comme des châteaux de cartes

    BridgesStone
    Je roule en Bridgestone
    Laissez-moi tous les battre
    N'venez-pas me saouliiir
    Venez plutôt m'abattre
    Pour m'empêcher d'vous pourrir

    J'ai les pots qui éclatent
    J'voudrais seul'ment partir
    Pas m'étendre sur l'asphalte
    Et pas me laisser mourir
    Laissez-moi tous les battre
    N'venez-pas me saouliiir
    Venez plutôt m'abattre
    Pour m'empêcher d'vous pourrir

    J'ai les pots qui éclatent
    J' voudrais seul' ment partir
    Pas m'étendre sur l'asphalte
    Et pas me laisser mourir
    Et pas me laisser mourir.

     
    » In Virolos Veritas Revenir en haut de page
    Une allitération en Vé, sous la plume inspirée de SP!KE
    La veille du départ pour la MotarTiflette, SP!KE se sent pousser des ailes de poête :


    Voici, à première vue, je ne suis qu'un vulgaire vosgien vêtu d'un vieux cuir à qui les aléas de la vie, font jouer à la fois, le voyou et le vertueux... et vice-versa. Ce visage ne sera que le vain reflet, d'une vive joie, de vivre à la veille de mes vingt-six ans, un voyage, une cavalcade, volant de villes en villes.

    Il me serait vain de vociférer tel un vil vanneur, que je vacille à la vue des virolos lovés dans les vallons. Car vexer amis, victimes des vicissitudes de la vie, ferait de votre serviteur, un vilain vaurien.

    Dans moins de vingt-quatre heures, la valeureuse voix de mon véloce vélomoteur, touine à défaut d'être en Vé, s'élèvera vociférant virilement au mépris de la vexation de mes trop vieux voisins, qui très vite ne verront en moi qu'une vermine virulente.

    Cette valeureuse et versatile machine, vouée à vaincre les vaines voiture vénales, évoluant de virage en virages avec vivacité au mépris de la gravité et de la verticalité. Dans le vrombissement de nos véhicules la veille révisés, de nombreux chevaux gavés, au vilo vibrant, virevoltant dans les routes incurvées des vallées de nos vadrouilles.

    Retrouver vénérables vieux et nouveaux venus pour vérifier si les valeurs approuvées par cette chevalerie sont encore en vogue en Navarre.
    Il ne serait que vanité que de ne vouloir priver d'un p'tit Vé d'autres volontaires motards. Mais je lèverais volontiers mon verre, car cheval comme cavalier il nous faudra ravitailler.

    Car en vérité je vous le dis, nous serons victimes de la violente vague de vindicative chaleur.

    In virolos veritas

     
    » Le Philou et le Bilou Revenir en haut de page
    bouquine.gif Fable :

    Maître Philou, sur son CBR perché,
    Tenait en ses mains un road-book à spéciales.
    Maître Bilou, par l'arsouille alléché
    Lui tint à peu près ce langage :
    "Et bonjour Monsieur du Philou,
    Quelle fameuse machine que votre beau brêlou
    Sans mentir, si votre pilotage
    Est comme cette moto de bel ouvrage,
    Vous êtes le nouveau Rossi des hôtes de ces routes"
    A ces mots, le Philou ne se sent plus péter
    Et pour montrer comme il sait bien angler,
    Ouvre gaz en grand et se trompe de route.
    Le Bilou en profite pour le vaporiser, et dit : "Mon bon Monsieur,
    Apprenez que tout flatteur
    Vit aux dépens de celui qui l'écoute.
    Cette leçon vaut bien une arsouille, sans doute."
    Le Philou, honteux et confus
    Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y reprendrait plus.




    Bon allez Philou, copain de moi, fépété les repères de freinages icon_mrgreen.gif icon_twisted.gif

     
    » Les débuts de Lorraine Revenir en haut de page
    Zizimolo commente les premiers tours de roue de Lorraine
    Lorraine,

    Si avec la moto école, tu te mets sur le tas
    Rien de grave, elle est faite pour ça!
    Si malheureusement, dans la chute, elle fût rayée
    En retour, tu sauras pourquoi la leçon t'as payé!
    Si ton homme, les conseils veut te faire entendre
    En toute confiance tu peux les prendre!
    Si les cours ne sont que théories et sciences
    Ses conseils prodigués ne sont que retour d'expériences!
    Ta persévérence seras alors par des balades récompensée
    De joies, de sensations et de rigolades ta vie sera semée!

    icon_biggrin.gif

     
    » L'Apologie des MT Revenir en haut de page
    La réponse du petit chaperon rouge au délire Bilounesque !
    L'Apologie des MT (sur l'air de la chanson homonyme de Matmatah -et oui, encore eux...-)

    Cet’sacrée motocyclette ne nous rend pas jobards
    2006 approchant rattraper le retard
    Vivons à notre époque et dédramatisons
    Non bien sûr le motard n’aura jamais raison
    Je roule avec ma brêle et sans modération
    Comme cette bagnole qu'on prend jusqu'à la déraison
    Et pour quelques caisseux est devenu passion
    Mais l'Etat ne dit rien le caisseux a raison
    Voir un chauffard zigzaguer ne choque pas la morale
    Mais l'auto tant louée nous est parfois fatale
    Les runs et les virées dans mon pays natal
    Des libertés de l'homme devrait être banal
    Malheureusement chez nous il faut rendre la main
    Si peu dangereux qu'on soit l'état nous fait la guerre
    Pour une fausse morale parce qu'il n'en touche rien
    Voilà la vérité dans cette triste affaire

    {Refrain}
    Une arsouille ou un Ricard , si t'as vraiment le cafard
    A choisir y a pas photo , moi je choisis les virolos
    Les bagnoles ont leurs chauffards, la moto c'est le panard
    Y'en a qui la mystifient , moi je fais son apologie

    Ce serait pourtant si simple de nous foutre la paix
    Deux petites bourres par jour c'est anti-dépresseur
    Si l'état dans ce cas n'était pas l'agresseur
    Le peuple des motards pourrait bien mieux rouler
    C'est encore cette fois par l'argent que le bas blesse
    Si au moins les motards pouvait emplir les caisses
    Nos dirigeants affables seraient bien plus heureux
    Et parfois avec nous viendraient user les pneus

    {Refrain}

    Les chauffards dans leur caisse ont le droit de rouler
    Car aux comptes de l'état apportent leurs deniers
    Mais les motards leurs brêles n’ont plus droit de rider
    La police est parée ; les radars sont posés.

     
    » Viens donc faire une balade MT Revenir en haut de page
    Bilou met Matmatah à la sauche motardesque
    Salut les djeunzs,
    une petite chanson sur l'air de Lambé An Dro de Matmatah :


    Si tu cherches un peu de gaieté
    Viens donc faire une balade MT
    Si t'as pas une moto d'kéké
    Viens donc faire une balade MT
    Si t'as un permis à fêter
    Viens donc faire une balade MT
    Y'a des virages à volonté
    Viens donc faire une balade MT

    Si t'as l'plein d'essence à brûler
    Viens donc faire une balade MT
    Si dans les courbes tu veux pencher
    Viens donc faire une balade MT
    Si t'as des slids à faire frotter
    Viens donc faire une balade MT
    Si à Candie y'a plus d'entrées
    Viens donc faire une balade MT

    Si t'en as marre de te traîner
    Viens donc faire une balade MT
    Si un radar t'as bien chopé
    Viens donc faire une balade MT
    Si un radar t'as bien pécho
    Deus da MT d'ober un dro
    Si t'as des roads à partager
    Viens donc faire une balade MT
    Et si t'aimes pas la marche à pieds
    Viens donc faire une balade MT


    icon_razz.gif


    --
    Bilou (la fatigue, probablement fume_un_pete.gif )

     
    » Au pays de Candie Revenir en haut de page
    La Tortue Géniale se languit du beau pays de Candie... Alors elle chante !
    hum, hum... [éclaircissement de voix]

    Au pays de Candie
    Comme dans tous les pays
    On s'amuse on stunte on court
    Il y a des lents et puis des rapides

    Et pour sortir des moments difficiles
    Avoir des amis c'est très utile
    Un peu d'astuce, de bricolage
    Au pays de Candie

    Mais on rêve et on imagine
    Tous les soirs en s'endormant
    Que la petite piste de banlieue
    Va ouvrir incessamment

    Pour chasser, notr' tristesse
    On cherche la vitesse
    Petite et gratuite
    Toujours fermée
    C'est Candie Can-an-die


    sifflote.gif et oui, c'est sympa les vacances!

     
    » Le bistrot des MT Revenir en haut de page
    Une métaphore signée Bilou, pour expliquer à un nioubie comment ça marche, tout ça !
    Alors voilà, figure toi que le forum sur lequel tu t'exprimes depuis quelques jours, c'est un peu comme un bistrot de village, ou comme celui d'un quartier pas encore trop bétonnisé et déshumanisé d'une grande ville.

    Dans ce bistrot, il y a les habitués, il y a les piliers de bars, qui ont des grosses voix et qui racontent à la cantonade des bonnes blagues ou des histoires qui font rêver les autres, il y a les tauliers, derrière le comptoir, qui sont ravis d'ouvrir leur porte à tous leurs habitués, car ils savent que ce sont justement ces habitués qui font tourner leur commerce, il y a les pressés du matin qui viennent prendre des nouvelles des potes en buvant leur cawa bien chaud, il y a les insomniaques qui philosophent sur la vie jusqu'à pas d'heure, d'autres qui ne disent rien mais qui n'en pensent pas moins... Tous ces gens là se côtoient depuis déjà un bon bout de temps, ils ont fini par apprendre à se connaître, parce que dans un village ou un petit quartier comme le nôtre, tout le monde finit par se connaître, à se saluer quand on se croise dans la rue, à prendre des nouvelles de petit dernier qui a choppé la grippe, de nos dernières vacances, que sais-je encore.


    Mais ce bistrot typique, avec son comptoir en bois, ses tables dépareillées et ses chaises un peu déglinguées, c'est aussi un bistrot comme les autres, où chacun peut entrer pour boire un petit café. Les tauliers sont pas sectaires, ils acceptent tout le monde. Et toi un jour, alors que tu passais dans le quartier, tu es passé devant le petit bistrot, mais tu n'avais pas le temps de t'y arrêter, alors tu as continué ton chemin et tu as fait ce que tu devais faire, tu es allé travailler, ou à un rendez-vous... et puis, un autre jour tu es de nouveau passé devant, et tu as remarqué qu'il y avait du monde à l'intérieur, et que l'ambiance chaleureuse qui y régnait avait l'air ma foi fort sympathique, alors tu t'es dit "tiens, un jour je m'y arrêterai pour ma pause déjeuner, je me prendrais bien un sandwich, c'est sans doute meilleur que la cantine, ou alors un cawa le matin en allant bosser". Et un jour tu es rentré, tu as pris ton kawa au comptoir et tu t'es installé sur la table du coin, prés du flipper, un vieux machin aux couleurs défraîchies mais pourtant toujours gaillard, même s'il lui manquait la moitié des pièces sous sa vitre rayée par les décennies qu'il avait vu défiler.

    Et pendant que tu buvais ton café, tu entendais les habitués raconter leur vie, ou commenter le match de la veille. Dans un coin, un autre habitué lisait son journal, en mâchonnant son croissant au beurre et en écoutant d'une oreille distraite mais sûre les autres dont les voix emplissaient tout l'espace déjà presque saturé de fumée de cigarettes. De temps en temps, il levait les yeux par dessus son journal pour intervenir dans la conversation, et donner son avis, que les autres prenaient la peine d'écouter. Au comptoir, un bourlingueur un peu grincheux sirotait son ballon de rouge en grommelant contre l'inflation, contre ce monde qui part en couille, un peu contre tout en fait. Mais les autres habitués venait quand même lui taper sur l'épaule et discuter avec lui, de tout et de rien, parce qu'après tout, il avait pas tout à fait tort : ce monde part vraiment en couille.


    Franchement, tu te disais que tu avais vraiment bien fait de venir boire ton café ce matin-là, que l'ambiance te plaisait bien, et que ce petit bistrot de quartier, ma foi, tu y reviendrais. Et tu y es revenu, le lendemain même heure, pour prendre ton petit café du matin, et ce coup-ci, tu es resté au comptoir pour le savourer, parce que le café du patron, c'est pas la daube infâme et lyophilisée de la machine à café du bureau. Et comme la veille, les habitués étaient là, ils discutaient, tu en reconnaissais déjà certains, dont le grincheux qui pestait devant son ballon de rouge, ou le patron derrière le comptoir, ou encore les quatre zigotos qui jouaient au baby foot au fond de la salle en rigolant fort.


    Et au comptoir, ça discutait ferme à propos des dernières conneries de nos politicards, et toi, peut-être un peu agacé par la remarque d'un des gars accoudés comme toi au comptoir, tu as pris la parole pour gueuler un coup, avec ta grosse voix un peu forcée pour te faire entendre, pour faire un peu comme tous les autres en somme. Mais là, tout le monde s'est retourné et t'a regardé comme un seul homme, un silence de quelques secondes s'est abattu dans la salle, un silence qui t'a paru durer huit milles ans, et les gens sont retournés à leur conversation, pendant que tu cherchais une quelconque issue de secours au fond de ta tasse de café. Les gens se sont fermés, ils t'ont tourné le dos. Et tu t'es retrouvé tout seul avec ta tasse à café.

    Ce bistrot là, il s'appelle Motards Toulousains, c'est le bistrot des copaings, ici les gens se connaissent, ils ont leurs codes, chacun a sa façon de parler et de penser, il y a des avis divergents sur tout, mais tout le monde sait comment son voisin fonctionne. Si tu prends le temps de t'intéresser aux clients de ce gastos, d'apprendre à les connaître, tu t'apercevras que sous leur carapace un peu rugueuse, ce sont tous des gens fort sympathiques prêts à discuter avec toi, à t'accepter parmi eux, et à te payer un coup à boire (si si, ça arrive !). Ce bistrot là, c'est le bistrot de tout le monde, chacun y amène sa petite pierre et il se construit un peu tous les jours, reposant sur quelques piliers un peu bourrus, mais finalement attachants.


    Ce bistrot là, c'est un peu le mien aussi, il est bordélique, il sent l'huile chaude, le pneu et la clope, il a ses clients caractériels, il est loin d'être parfait, un peu bruyant, il transpire la mauvaise foi motarde... mais je l'aime icon_wink.gif

    --
    Bilou. Patron, un demi !

     
    » Je chante sous mon casque Revenir en haut de page
    Paroles de Sky et musique d'un musicien connu icon_wink.gif !
    J'ai la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange
    Mais ça fait pas très sérieux.
    Pardonnez-moi, c'est très étrange,
    Ça me prend là où ça veut.
    C'est la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu.

    J'ai la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu.
    Ça fait du bien dans les phalanges,
    Mais ça fait pas très sérieux.
    Y a rien à faire pour que ça change,
    Faut se faire une raison.
    J'ai la poignée qui me démange,
    Alors je gazz en brélon.

    J'ai la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange,
    Mais c'est un cercle vicieux.
    Y a rien à faire pour que ça change,
    Faut se faire à cette idée.
    J'ai la poignée qui me démange,
    Alors j'essaie de rouler.

    J'ai la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange
    Et si c'est pas très sérieux,
    C'est la plus belle leçon de vie
    Que j'ai reçue depuis toujours;
    C'est la meilleure thérapeutique
    Quand j'ai des chagrins d'amour.

    J'ai la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu.
    Ça me soulage et ça s'arrange
    Et quand je serai très vieille,
    À ma mort, je veux qu'on m'installe
    Avec mon casque à la main.
    Si vous voyez ma pierre tombale
    Qui gigote à la Toussaint...

    C'est la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu
    Dans les nuages avec les anges
    Et tout là-haut dans les cieux.
    Pardonnez-moi si ça dérange :
    Ça me prend là où ça veut.
    C'est la poignée qui me démange,
    Alors je gazz un p'tit peu.
    Y a rien à faire pour que ça change,
    Et si, dans un jour ou deux,
    Y a la poignée qui vous démange,
    Alors c'était contagieux.

     
    » Une pitite chanson pour nos amis pistards , par Bilou Revenir en haut de page
    A fredonner le nez au vent, sur l"air de "Aux Champs Elysées" Clique pour écouter l"air.

    Je m'baladais sur l'avenue visière ouverte à l'inconnu
    J'avais envie d'faire une sortie
    Avec n'importe qui.
    N'importe qui et ce fut toi
    On s'est croisé vraiment comme ça,
    Il n'a fallu qu'un petit Vééé
    Pour te rencontrer.

    REF 1 :
    On a bien roulé
    On a bien roulé,
    Loin d'la ville, en pleine campagne
    Sur les routes de nos montagnes,
    Sans oublier de s'arrêter
    Dans les p'tits troquets.

    Tu m'as dit "j'ai rendez-vous
    Sur un circuit avec des fous
    Qui aiment faire péter des chronos
    Sur leurs grosses motos".
    Au milieu de ces motards,
    Une vraie bande de tabanars,
    J'me suis placé dare-dare
    En grille de départ.

    REF 2 :
    On s'est arsouillé
    On s'est arsouillé
    Un freinage puis un inter
    Une accél et un exter,
    Je cherchais l'opportunité
    Pour les dépasser.

    C'était une fameuse bourre
    Et au bout de quelques tours
    Je regardais déjà derrière
    Les retardataires.
    Mais d'vant moi, y'en restait trois
    qui roulaient plus vite que moi,
    Il m'en fallait vraiment pas moins
    pour jouer au malin...

    REF 3 :
    J'ai tout fait frotté
    J'ai tout fait frotté
    Les cales-pieds, le carénage
    J'me suis loupé sur un freinage,
    J'ai réussi à bousiller
    Mon beau destrier.

    Voilà c'qui arrive aux optimistes,
    ceux qui s'croient les rois d'la piste,
    J'ai terminé comme un minable
    Dans le bac à sable.
    Mais après coup, avec les autres
    On rigolait de cette vautre,
    C'est aussi ça l'esprit motard :
    Jamais de cafard !

    REF 4 :
    On s'est bien marré
    On s'est bien marré
    Un pif-paf puis une épingle
    Une série d'virages de dingues,
    Dès qu'j'serai sorti de l'hosto
    J'y r'tourne aussitôt !

    Taaa tadatadadaaaa tadadadaaaaaa
    Ta tadatada tadadaaaaaaaa

    Bilou (qu'a encore abusé sur le )


     
    » Petite fiction, toute en rimes, par Benzz Revenir en haut de page
    J'ai mon blouson et j'ai mes gants,
    j'ai mon casque, mon jean troué,
    j'ai mes potes et y'a pas d'vent,
    y'a plus rien pour nous arrêter.

    Y'a du soleil, des routes parfaites,
    des virolos au taquet,
    et ce soir ça s'ra la fête,
    c'est vraiment une belle journée.

    On attaque, on ouvre en grand,
    des grosses bananes sous les visière,
    y'a les virages qui crient "maman",
    quand on arrive, c'est l'tonnerre.

    Mais y'en a un qui m'regarde,
    il s'dit "celui là, j'vais m'le faire",
    moi j'arrive et j'baisse ma garde,
    parce qu’il a l'air vraiment pépère.

    A peine je rentre, v'la qu'i s'resserre,
    il m'fait une blague de mauvais goût,
    moi qui était si tête en l'air,
    si insouciant et tranquillou.

    Réveille toi vieux ! t'es dans la soupe,
    et il est grand temps de s'bouger,
    il vaudrait mieux pas que j'me loupe,
    sinon j'vais être très énervé.

    Je prend plus d'angle, quelle maladresse,
    je conduit vraiment comme un con,
    j'aurai mieux fait d'sortir une fesse,
    maintenant j'suis coincé pour de bon.

    Je mord la ligne, évidemment,
    je vais m'faire pourrir de plus belle,
    mais ça j'm'en fou pour le moment,
    parce que devant, les phares m'appellent.

    Naturellement, dans ma grande chance,
    en ce dimanche ensoleillé,
    y'a un putain d'camion immense,
    qui s'promène... il fait qu’passer.

    Là ça s'complique immédiat’ment,
    avec cette énorme poubelle,
    et si j'veux pas qu'il m'rent' dedans,
    il faut vraiment que j'bouge ma brêle.

    C'est pas possible d'angler plus fort,
    je suis déjà sur le cale-pied,
    manger les freins, serrer à mort,
    ça m'parait être une bonne idée.

    Super viril, façon trappeur,
    j'ai tout planté sur le goudron,
    j'suis désolé si j'vous fait peur,
    mais j'avais pas d'ot' solution.

    Freiner sur l'angle, c'est jamais bon,
    cette conne pense plus qu'a se rel'ver,
    à grand coup d'poing dans l'guidon,
    j'arrive enfin à maîtriser.

    Ca va passer bordel de dieu,
    y'a pas intérêt à s'vautrer,
    sinon on y rest' tout les deux,
    alors j't'en supplie, fait pas chier.

    Et en effet c'est bien passé,
    et tout les collègues, morts de rires,
    ils m'ont chambré toute la soirée,
    mais ça aurai put et' bien pire.

    Tant pis pour moi, j'ai 22 ans,
    j'ai voulus rouler comme les grands.

    Mais j'me suis pas foutu au tas,
    c'est déjà ça...


     
    » Gaaaaaaz ! par Tonio Revenir en haut de page

    Le temps de m'habiller
    Je démarre la moto
    Quand nous sommes tous deux prêt
    On prépare le chrono
    Lui qui devient mon dieu
    Quand je m'aligne au feu

    Sur la ligne de départ
    S'alignent mes concurrents
    Pas de places pour le hasard
    Va falloir ouvrir en grand
    Pour que tout s'accélère
    Quand le feu sera vert

    Mets les gazzzzzz ! Mets les gazzzzzz !
    Va falloir pourrir les autres
    Mets les gazzzzzz ! Mets les gazzzzzz !
    Et va pas te prendre de vautre

    On est tous bien parti
    On démarre comme des furies
    Le premier virage survient
    Derrière tout le monde suit
    On pilote comme des chiens
    C'est notre mode de survie

    Mets les gazzzzzz ! Mets les gazzzzzz !
    Va falloir pourrir les autres
    Mets les gazzzzzz ! Mets les gazzzzzz !
    Et va pas te prendre de vautre

    C'est la course pas de pitié
    Chuis pas là pour me traîner
    Place aux dépassements
    Intérieur ou extérieur
    Oui ça c'est du pur bonheur
    Tout est bon pour être devant

    Mets les gazzzzzz ! Mets les gazzzzzz !
    Va falloir pourrir les autres
    Mets les gazzzzzz ! Mets les gazzzzzz !
    Et va pas te prendre de vautre

    Vient le drapeau à damier
    Tout le monde s'arrête au bord
    On garde notre fierté
    Car personne n'a pris l’décor
    Chacun réinvente la course
    Et ça chambre comme des ours

    Je crois que tu t'en doutes
    On fait pas ça sur la route
    Pas fous, on tient à la vie
    Sécurité top niveau
    Ca se passe sur circuit
    C'est ça les minis motos !


     
    » Soleil, par Absolut Revenir en haut de page

    Soleil

    Ta chaleur réchauffe mon coeur
    C'est avec beaucoup de bonheur
    Que je vois les journées
    Lentement s'ecouler

    Lorsque tu sors de ta cachette
    Mon esprit est en fête
    Tes rayons s'étalent dans le ciel
    A la manière d'un arc-en-ciel

    Parmi les nuages
    Tel un grand mage
    Tu apparais et disparais
    Dans de magnifiques effets

    Au soir tu te couche
    Dans tes draps pourpres
    Pour nous envoûté
    Et nous faire rêvé

    Tu fond sur l'horizon
    Et nous espérons
    Le lendemain
    Te revoir au matin

    Voila,c'etait juste une divagation de mon esprit...........

    Et voici la réponse poétique de john_tgv :

    cher absolut,
    je te salut.
    tu éclaires nos nuits,
    mais aussi nos esprits.
    De toi, le soleil,
    qui partout veille,
    est parfois, il l'avout,
    un petit peu jaloux.

    Il faut reconnaitre
    que tes poèmes
    nous font renaître,
    même les plus blèmes.

    Alors, c'est ainsi
    que je te dis merci
    de nous avoir fourni
    de ton plus bel écrit
    un portrait bien peint
    du soleil du matin.


     
    » Poème par Bilou et Absolut Revenir en haut de page

    Quand on part en balade
    Mon cœur bat la chamade.
    Rouler entre nous
    C’est complètement fou,
    Chacun avec sa belle
    Qui offre sa selle
    A qui le voudra bien
    Pour un bout de chemin.

    Du bitume, du soleil
    Et nos sens s’émerveillent,
    Peu importe notre chemin
    L’essentiel est d’être bien.
    A grandes bouchées
    Ca nous fait rêver
    Car bien plus que la route
    C’est la vie que l’on goûte.

    Et pendant chaque pause
    Il se passe tant de choses,
    Dans nos esprits
    Virevoltent tous les récits
    Passés ou à venir
    Il reste tant à découvrir.
    Sur nos fidèles montures
    Nous partons à l’aventure.

    Quelques kilomètres partagés
    De joies et de libertés
    Et nos sens s’abandonnent
    A une ivresse folle.
    Et quand le road est fini
    Autour d’un bière réunis
    Pour signer le pacte
    D’une amitié intacte.

    Tout droits resrvées aux motards toulousains


     
    » Le Bilou, par Bibouille Revenir en haut de page

    Sur son joujou, ce n'est pas un bambou
    Il y va pas tout tranquillou,
    Il fait gaffe aux cailloux et aux clous
    Tout en ménageant ses écrous.

    Les caribous, les kangourous, les gnous,
    Les hiboux, les matous, les loups garous,
    Les chiens loups et autres toutous,
    Il passe partout, il est toujours debout.

    Faut pas être un casse-cou,
    Ne pas tomber dans le trou,
    Pouvoir toucher du genou
    Mais ne pas prendre de cachou.

    De la gadoue sur le garde-boue,
    Oups, faut y aller tout doux,
    Ne pas être un risque-tout
    Car il faut être au rendez-vous.

    Non non il n'est pas tout fou-fou
    Il ne s'agit pas de perdre le cou
    Mais d'être dans le coup
    C'est ca l'esprit jeune loup.

    Toujours là pour des noix de cajou
    Quand il faut se gonfler la joue
    Rien ne vaut un bon faitout,
    Attention il a du goût.

    Ne pas boire comme un trou,
    Juste un petit glouglou,
    S'agit pas d'être saoul,
    De tomber dans la gueule du loup.

    On le retrouve parfois sur le minou
    Où il va pousser quelques miaous.
    Rarement vous le verrez faire la moue
    Sauf s'il faut compter de mauvais sous.

    Quelque part, c'est notre chouchou
    Dans ses mots rien de flou,
    Ce sont de vrais bijoux
    Quel bagou ce Bilou.


     
    » Le MT, par Sky Revenir en haut de page

    Ce texte est pour chacun de vous, les garçons, les filles...tous........

    Le MT est un esprit
    Je l'apprend chaque jour par coeur
    Il traverse à chaque instant mes humeurs

    Le MT est un sourire
    Je le croise si souvent
    Il illumine mes soirées toulousaines

    Le MT est un bisou
    Je l'ai recu sur la joue
    Il a innondé mon coeur

    Le MT est une lumière
    Je me suis dirigé vers elle
    Elle m'a entouré de sa chaleur

    Le MT est une passion
    Je l'ai adopté et la retrouverais tjrs derriere un guidon
    Elle restera en moi jusqu'au dernier soupir

    Le MT est si fragile
    Je voudrais le préserver au milieu d'une boule de coton
    Et lui dire doucement que je l'aime

    Le MT est mon meilleur ami
    Je veux lui offrir ce ke j'ai de plus beau
    Et ne jamais le voir partir....


     
    » A vous mes amis motards disparus......... (Absolut) Revenir en haut de page

    Nous nous sommes peut etre croisés
    Surement avons nous echangé le "V" de l'amitié
    Aujourd'hui je ne te verrais plus
    Ce n'est pas toi qui l'à voulu

    Sache que nous sommes tous egaux
    Au guidon de nos motos
    Le danger est toujours present
    Et parfois pesant

    Il fait parti de notre passion
    Que nous partageons
    Dans cette grande famille
    Souvent trop fragile

    Je ne sais pas ou tu es
    Mais sache que mes pensées
    Vont a toi mon ami
    Tu serras toujours dans mon esprit.........


     
    » Soufflet de RV à JUL, à propos d'un dessin... Revenir en haut de page
    JUL ce dessin est très fin..
    comme ton esprit aiguisé...
    mais tu manque de respect,
    A tous les sds si féminins...


     
    » Ode aux Ducatistes, par RV Revenir en haut de page

    Ducatiste tu es devenu,
    passionné du rouge éffilé,
    Avec un monstro concubiné,
    laisse les sds rêver sans plus !!

    Ton goût pour les mots fins
    Ton pilotage qui ne l'est moins,
    Ton esprit MT POWER...

    Ton aura au sein des winners,
    De ce motard-site de vainqueurs
    Font de toi un motard au grand coeur !!

    Ode écrite sans alcool sans drogue, et sans raison !!!
    RV


     
    » Ode au gromono, par Absolut Revenir en haut de page

    Tu roule en monocylindre
    Tu n'es pas du genre a te plaindre
    Car les vibrations
    Ne sont pas une illusion

    Mais a la rotation de la poigné
    Tu prend un coup de pied
    Plus l'avant se léve
    Et plus tu réve

    Sur le frein moteur
    C'est du bonheur
    Tu deccelére
    Ton poul s'accelére

    Des quatre pattes
    Sans patates
    Tu t'en moque
    Tu prefere le son roque


    C'est a peut pres ça Titi ?

    Thierry (bon je vais prendre un bain )


     
    » Poème du jeune permis, par Didier Revenir en haut de page
    ceci est un poeme qu'un ami m'as fait lorsque j'ai eut mon permis
    je l'ai desuite adorer, et il trone toujours dans mon appart ...

    c'est pas seulement beau, c'est aussi vrai, je vais donc vous en faire profiter ....

    _______________ Moto Conseils ___________________

    Bienvenue donc, dans la tribu
    De ceux qui aiment se tanner l'cul

    Couchés a donf sur leurs pétoires
    Du p'tit matin jusqu'au grand soir.

    Mais faudra t'souv'nir jeun' motard
    Des bons conseils des vieux routards.

    Pneus, plaquet', chaines tu changeras
    Sans hesiter des qu'ca va pas.

    En changeant d'file, jettes un coup d'oeil
    Pour pas finir dans un cercueil.

    De temps en temps tu peux ouvrir
    Sauf si des flics t'ont dans leur mire.

    Dans les virages faudra pencher
    Mais l'bitume cherch' pas a lécher.

    Et surtout n'oublie jamais ca :
    C'est ton regard qui t'emmen'ra

    Des gros caisseux faut qu'tu t'mefies,
    Y sont specialist' des conneries.

    C'est pas une raison neanmoins,
    Pour faire justice à grands coups d'poings !

    Si tu pues trop la biere, la sueur,
    Aux gens normaux tu vas faire peur.

    Soit bon pote : un motard croisé
    Ca vaut un p'tit signe d'amitié.

    Et si t'en vois un sur l'coté,
    Réflechis pas, faut t'arreter.

    Avec tout ca roule bien ta bosse
    Sur ta becane, tu s'ras seul boss !

    Mais apprends ca par coeur mon frere,
    Ca peut t'eviter d'puer la terre !

    Didier

    _____________________________________

    voila voila ....

    merci encore didier


     
    » Ode a l'Absolut, par Thierry (l'abus d'alcool, tout ça... ;-) Revenir en haut de page
    Ah l'Absolut
    Quand tu deprime
    C'est mieux qu'une aspirine
    Et le lendemain
    Tu n'as plus de chagrin

    Un verre de trop
    Et tu va au dodo
    Tu fini rond
    Comme un boulon

    Entre ami
    Aucun repit
    C'est comme de l'eau
    Ca te fait du bien au dos

    Mieux vaut en abuser
    Ou s'en amuser
    Et si tu confont avec l'eau
    Fait gaffe a ton cerveau !


    Thierry(le poete fou)


     
    » Ode au Hérisson, par Absolut Revenir en haut de page

    Herisson
    Ta robe pique
    Et rien ne t'irrite
    Dans le notre jardin
    Tu fait le coquin

    Herisson
    Tu bois du lait
    Car ca te plait
    Mais sur la salade
    Tu n'es pourtant pas malade

    Herisson
    Qand tu traverse les routes
    Tu t'en doute
    C'est dangereux
    Car tu crains les pneus

    Herisson
    Des fois piquant
    Des fois marrant
    Tu es misterieux
    Et c'est tant mieux

    Hé voila !!!! pas evident l'herisson.J'ai une petite annecdote sur les herisson.Je vous la raconte mais vous etes pas obligé de lire.

    Voila,quand je n'etai encore qu'un nain,ma mére avait un superbe potagé.Par un beau jour de printemps alors que je m'initié au velo,un herisson passa devant moi.Je l'ai ramassé et pensant qu'il avait faim deposé dans le superbe potagé !!!! Le hic c'est qu'il a mangé toutes les salades et que mes parent on mit 3 jours pour le trouvé !!!! Je site ma mere quand je lui ai appris qui etait le fautif " t'es bon pour replanté les salades mon fils ".Moralité tu croit rendre service a un herisson et tu fini mareché !!!!!!


     
    » Ode à l'Ecureuil, par Absolut Revenir en haut de page

    Bon il m'a été demandé d'ecrire un poeme sur les ecureil.Je vais essayè de tenté la chose bien que ces bestioles ne me soient pas familieres !!!!

    Toi l'ecureil
    Sur les arbres tu te balade
    Te voir me rend malade
    Tel un funanbule
    Tu gesticule

    Toi l'ecureil
    Tu es toujours discret
    Mais plein d'attrait
    Tu est gourmand
    Mais tellement charmant

    Toi l'ecureil
    Tu es heureux
    Dans ta robe couleur feu
    Si tu quitte nos forets
    Tu m'en vera attristé

    Ben..............voila........


    Thierry ( le poete fou )


     
    » Ode à l'Escargot, par Taïtigovich Revenir en haut de page

    L'escargot je veux bien le faire:

    Ola 'spèce de gros n'escargot
    toi, la limace dépourvu de turbo
    Quand je te vois déambuler tel un chamallow
    et tout gluand, tu sens vraiment la pisse de veau
    de toutes manière, 'spèce de n'escargot
    ton chalet de bois sur ton dos
    me rappelle les vacances à St Malo (???)
    j' t'aime pas, t'es pas beau
    Toi le vilain n'escargot....

    Taïtigovich, poète russe...


     
    » Ode à la Moto, par Thierry Revenir en haut de page

    La moto
    Des fois tu te sens beau
    Des fois tu a bobo
    Tu prend de l'angle
    Mais jamais tu te glande

    La moto
    Plus tu monte en regime
    Plus monte ton adrénaline
    Le nez au vent
    Tu vas de l'avant

    La moto
    Appartient a ton ame
    Allume une flamme
    Qui ne s'eteint
    Que lorsque c'est la fin

    La moto
    Quelle envie
    Qui te rend la vie
    C'est trop beau
    j'aime la moto


    Et voila un autre juste pour vous faire lire un peu! J'espere que vous apprecié sinon j'en fait un autre et na!!!!!

    THIERRY ( le poete fou )


     
    » Un jour je serais motard Revenir en haut de page
    Un conte motardesque de Bilou

    Nous autres motards, partageons une passion commune, un étrange sentiment d'appartenir à une grande communauté fraternelle, réunis autour d'un idéal que nous seuls pouvons comprendre : nous roulons à moto, nous aimons ça et rien, pas même les pires éléments déchaînés ne sauraient nous en détourner. Et chacun de nous se souvient avec émotion du jour où le déclic a eu lieu, du jour où comme une évidence inexplicable, la vérité s'était imposée d'elle-même : "un jour je serai motard". Pour ma part ça remonte à déjà plusieurs années mais je m'en souviens comme si c'était hier : ma première balade à moto en passager. Mon conducteur, un fringuant jeune homme de 26 ans, arborant sur son visage un sourire assuré qui savait charmer les femmes même les plus farouches, les cheveux en bataille, un brin play-boy, il était mince il était beau il sentait bon le sable chaud. Il portait fièrement un vieux cuir limé sur les épaules avec un écusson Triumph brodé sur la manche gauche, il portait aussi un foulard noué autour du cou, un jean délavé et une paire de Santiags aux pieds. Son accoutrement de motard se trouvait complété par un cax bol et des lunettes d'aviateur.

    C'était au mois de juillet, dans le sud-est de la France, le Roussillon pour être exact. Mon conducteur monta sur son monstre d'acier, une rutilante Triumph Bonneville 1970, démarra le moteur qui s'ébroua dans un râle rauque et métallique, et m'invita à prendre place derrière lui sur la selle passager de la belle anglaise. Au moment où je fus installé sur le cuir de la selle, je sentis les vibrations du moteur me parcourir et je me mis moi aussi à vibrer à l'unisson, comme si je ne faisais déjà plus qu'un avec la moto.

    Alors qu'il réglait le ralenti, mon conducteur se retourna et demanda avec son grand sourire absolument irrésistible : "on y va ?"... On y va, il enclencha la première, le cheval d'acier tressauta sous l'à-coup des pignons se mettant en prise, et comme par magie, la moto démarra sur un filet de gaz et remonta le petit chemin de terre jusqu'à la route. Un peu secoué par les irrégularités du chemin, je me tenais à ce que je pouvais mais très vite je me sentis à l'aise, parfaitement en confiance et tous mes sens en éveil. Arrivé au bout du chemin, mon conducteur mit pied à terre, observa la route qui partait à la perpendiculaire et demanda : "C'est bon, toujours là ?". Toujours là, plus que jamais. Personne à gauche, personne à droite, la Triumph s'engagea sur la route, baignée de soleil, un long ruban de bitume s'étendait à perte de vue, les senteurs de l'été emplissaient l'air lourd et chaud de cette fin d'après-midi. La Triumph accéléra doucement, pour ne pas brusquer son passager, le vent se fit sentir, apportant un peu de fraîcheur, une douce sensation de plénitude. Puis vint le premier virage, la moto se pencha doucement, je sentis cette force étrange qui voulait me pousser à l'extérieur et cette autre force, intérieure celle-là, qui contrait la première, dans un réflexe d'équilibre primal. Presque instinctivement, j'avais trouvé ma place sur la moto, je faisais corps avec elle, je savais qu'elle allait m'emmener sur des chemins inconnus mais cela ne m'effrayait guère, bien au contraire, j'avais hâte de voir ce qu'elle me réservait. Et je ne fus pas déçu. Les virages s'enchaînèrent les uns après les autres, dans cette belle région si propice aux égarements bucoliques, et toutes sortes de sensations se mélangeaient dans un grand feu d'artifice : des accélérations, des passages à l'ombre de petits sous bois, quelques freinages appuyés, le vent, la chaleur du soleil plombant les champs alentours, et toujours les vibrations du bicylindre dont les montées en régime résonnaient en moi comme une symphonie lyrique aux changements de tempo aussi vifs que fréquents. Aucun doute, c'était du pur bonheur et je me laissais guider par mon conducteur, le louant à chaque instant de m'avoir fait connaître ce moment de grâce.

    ça a duré deux heures ou un quart d'heure, je ne me souviens plus, c'était tellement intense que la notion du temps m'avait échappé. On était revenu à notre point de départ, le petit chemin de terre bosselé. Un tour dans le Roussillon, un baptême inoubliable. Sur le visage de mon conducteur, toujours ce grand sourire et cette lueur incroyable dans les yeux quand il se retourna pour demander : "Alors, ça t'a plu ? contente ?". Ma mère lui répondit oui et l'embrassa avec amour à l'ombre des peupliers près de la maison. Moi, j'avais à peine 2 mois et j'étais bien au chaud dans son ventre, mais je savais déjà que je venais d'attraper un virus qui ne me quitterait plus jamais : un jour je serai motard...

    Bilou (mon père, ce héros)


     
    » Les Webmasters, par Thierry Revenir en haut de page

    Un petit poeme?...............aller soyons fou......

    Nos webmasters
    C'est les meilleurs
    Ils sont trois
    C'est vraiment les rois

    Si tu es triste
    Va sur le site
    Car ta ranqueur
    Se transformera en bonheur

    Ballade ta souris
    Et tu seras surpris
    Laisse toi envahir
    Tu pourra decouvrir

    A traver les messages
    Aucune rage
    Mais une bonne humeur
    Qui te remplira le coeur

    Voila c'est tout...........

    Thierry ( le pouete pouete fou...... )


     
    » Les Pâquerettes, par Tonio Revenir en haut de page

    Voilà donc le résultat de mes divagations florales :

    Quand tu fleuris oh pâquerette,
    Tu m’en mets plein les mirettes.
    Du parfum que tu exhales,
    Tu me fais tourner la tête.

    Oh ma jolie pâquerette,
    Toi qui paraîtrais banale
    Face à ta cousine la rose,
    Ce n’est qu’une anamorphose,
    Tu n’en as pas le piquant
    Ni la couleur rouge sang,
    Mais tu caches sous tes airs simples
    Un charme digne de l’Olympe.

    Si tu étais une femme,
    Je te compterai fleurette
    Afin de découvrir ton âme,
    Toi qui me fais tourner la tête.
    Ainsi ma jolie pâquerette
    Commencerait notre amourette.

    Alors, c'est pas du high level mes amis ?


     
    » Le Poème de Bienvenue aux nouveaux [MT], par Bilou Revenir en haut de page

    Bienvenue

    A toi le nouveau qui vient de s'inscrire
    Sur le site des Motards Toulousains
    Quelle bonne idée tu as eu de venir
    Et rejoindre cette bande de joyeux zinzins

    Soit aussi bienvenue, toi la nouvelle
    Parmi ces motards et leurs gros engins
    Je veux bien sûr parler de leurs brêles
    T'avais compris quoi, petit malin ?

    Quel que soit le moteur qui t'anime
    Qu'il ait un, deux, trois ou quatre pistons
    Conducteur ou passager du brêlon
    Avec nous, tu n'es plus anonyme

    Une fois par mois, le second vendredi
    C'est devenu un sacro-saint rituel
    Accueillir tous les nouveaux et nouvelles
    Autour d'une bière de l'amitié, pardi !

    Mais surtout, c'est pour ça que tu es là
    En balade avec nous tu viendras
    Sur les petites routes de la région
    Des jolis coins y'en a à profusion

    Quand nous partons tous sur nos motos
    Par monts et par vaux, du nord au sud
    A la recherche des petits virolos
    Tu verras ce qu'est la [MT] attitude.

    Bilou ( - dis "camion". - heu... camion - Poète poète !!)


    Ca y est, il n'y a plus rien à voir. Tu peux aller explorer les autres pages du site, maintenant.

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